La prière transforme la vie
Le chemin de la prière est un chemin de foi qui se vit au sein des difficultés de la vie. (Michel Santier)
Le chemin de la prière est un chemin de foi qui se vit au sein des difficultés de la vie. (Michel Santier)
Votre fréquentation régulière ou ponctuelle nous redit combien votre attachement à Notre-Dame-De-Lourdes sait vous donner de poursuivre avec confiance et sérénité cette mission baptismale qui est la vôtre au cœur même de ce monde qui, à la croisée des chemins, nous permet à notre tour de faire confiance pour la pérennité de ce lieu qui vous est cher !
Ainsi, tu nous donnes de comprendre que tu appelles chacun par son nom, que tu éveilles des jaillissements intérieurs, que tu as déposé en chacun un don unique, irremplaçable. (Frère Roger de Taizé)
Que la méditation de Ta Parole
mette véritablement dans nos cœurs
une lumière nouvelle qui éclaire notre chemin. (Marc Boegner)
Prends le temps de regarder. Fais silence. Remercie. Avance. Comprends-tu maintenant l’invitation du Christ : « Suis-moi, marche, viens à ma suite? » Il est avec toi sur les chemins de ta vie, sur ton chemin d’Emmaüs… N’est-il pas lui-même le chemin? Tu es invité à passer par lui pour rencontrer le Père…
Le mois du Rosaire comme le mois de Marie nous enveloppent d’une espèce de tendresse maternelle. Les Je vous salue, Marie s’enfilent à la dizaine à travers les mystères de la vie de Jésus, que l’on reprend, que l’on redit que l’on prie. « Oui, Marie, le Seigneur est avec vous, il est le Fils, il a pris chair de votre chair. »
Il y avait tant de chemins à prendre… À force d’écouter et de persévérance… (Bernard Turull)
Enfant prodigue, fils ingrat, j’ai rompu la relation avec toi, mon Père. J’ai voulu faire ma vie tout seul, inventer mon bonheur loin de toi. Je n’avais pas compris la gratuité de ton amour qui était ma maison, ma richesse et ma vie. J’ai voulu prendre l’héritage, tout de suite, pour moi tout seul; j’ai accaparé tes dons comme un dû. (…) (Michel Hubaut)
Ouvre-nous ces sentiers qui conduisent à nos frères, qui nous permettent de les rejoindre au cœur de leurs souffrances. (Albéric de Palmaert)