Le défi de l’unité
La semaine de prière pour l’unité des chrétiens pourrait donner à penser que le problème est récent et lié aux dissidences orthodoxes ou protestantes. Dès les commencements, la question préoccupe Jésus.
La semaine de prière pour l’unité des chrétiens pourrait donner à penser que le problème est récent et lié aux dissidences orthodoxes ou protestantes. Dès les commencements, la question préoccupe Jésus.
7e article d’une série de 8 sur les principales convictions et les étapes de la conversion selon l’itinéraire zundédien.
1er article d’une série de 8 sur les principales convictions et les étapes de la conversion selon l’itinéraire zundédien.
Thomas d’Aquin parlait de la « manducation » de la Parole de Dieu. Une lecture qui transforme la personne qui la pratique.
Rien ne serait plus merveilleux que de rendre heureux ceux qui nous entourent et de passer notre existence terrestre autant qu’elle doit durer, de la passer justement à être dans la vie des autres le sourire de la Présence et de la tendresse divines. (Maurice Zundel)
Seule une âme peut parler à une âme, seule une intimité peut en éclairer une autre, seul un amour peut susciter l’amour. (Maurice Zundel)
Quand on s’engage dans la découverte de Jésus Christ, à travers le silence et la prière, on découvre en même temps des ressources cachées que l’on porte en soi-même. (Claude Dagens)
Viens, Esprit Saint, tu es le Souffle de Dieu. Souffle sur moi tous les vents et je poursuivrai mon aventure dans l’Église de Jésus. Je deviendrai un témoin de ton amour! (Auteur inconnu)
Bienheureux si tu es plein de reconnaissance pour ce que tu as, pour ce que tu es.
Bienheureux si tu apprends, au cœur de ta vie, que le vrai bonheur est ailleurs que dans le plaisir superficiel, le pouvoir ou la richesse.
Bienheureux si tu as la certitude que ta plus grande richesse, c’est de te savoir aimé de Dieu.
En fait il aurait fallu titrer : Louis Querbes et le catéchisme, car à son époque on ne parlait pas de catéchèse ni de la démarche de rencontre et d’appropriation qu’elle suggère. Pourtant, bien en avance sur son époque, il avait intuitionné la nécessité d’un contact direct avec la Parole de Dieu. Il fera de même avec la liturgie. Il ne faut pas s’étonner alors qu’il donne aux religieux de la communauté qu’il fonde en 1831 le titre de « Clercs paroissiaux ou catéchistes de Saint-Viateur. »