Qui donc est Dieu
On te croit ennemi de la joie : tu en es la source. On t’imagine rancunier : tu pardonnes comme nous respirons. On te croit figé comme un monarque : tu es ardent comme un berger. (…) (Stan Rougier)
On te croit ennemi de la joie : tu en es la source. On t’imagine rancunier : tu pardonnes comme nous respirons. On te croit figé comme un monarque : tu es ardent comme un berger. (…) (Stan Rougier)
Bienheureux si tu reconnais en toi les traces du souffle qui t’a créé à l’image de Dieu.
Bienheureux si tu intègres ta sexualité à ton option de vie en la revêtant de la responsabilité de l’amour.
Bienheureux si tu reconnais que ta sexualité est un don de Dieu qui te permet d’aimer comme le Seigneur aime.
Remettez-le-moi, il demeure mon fils jusque dans la mort.
Je vous l’ai donné plein de vie et vous me le redonnez si défiguré que j’ai peine à la reconnaître.
Comprendrez-vous, en regardant Marie, que la plus grande vertu d’un cœur courageux c’est la tendresse?
Comprendrez-vous, en regardant Marie, presser sur sa douleur de mère son fils mort, que la tendresse est le plus beau chant des cœurs souffrants?
Nous sommes appelés à une forme de paternité et de maternité à l’image de Dieu où les petits gestes peuvent faire toute la différence, dans notre vie comme celle des autres.
En compagnie de saint Joseph et du Frère André, une méditation qui nous révèle les multiples facettes du visage de Dieu.
« Au cours de notre pèlerinage, nous apprendrons qu’il est lui-même Beauté, Joie, Tendresse, Miséricorde, Silence, Fidélité, Espérance, Amour et Vie. » (René Pageau)
En retraçant l’histoire biblique de saint Joseph et l’histoire fascinante de saint Frère André, simple et humble frère convers, nous sommes invités, à leur suite, à relire notre histoire dans la grande histoire de l’Église.
Ce n’est pas ravaler Dieu que de lui prêter un visage de Mère, c’est simplement accepter en toute sa plénitude cette révélation vivante qui est la personne même de la Vierge : comme le sacrement de la tendresse maternelle de Dieu.
Donne-moi la générosité d’élargir le cercle de mes amours pour que personne ne se sente exclu de toutes les forces de résurrection qui jaillissent d’un cœur habité par la tendresse !
Garde-moi humblement, Seigneur, sous le pouvoir libérateur de l’amour !
Douée par Dieu de sa tendresse maternelle pour donner la vie, de sa force et de sa fidélité paternelles pour mettre debout, elle proclame que l’on peut toujours changer, que l’espérance est toujours possible.
La vénérable Marie-Josephte Fitzbach offre à notre monde un visage maternel rayonnant de la Miséricorde divine.
Lourdes de Rigaud demeure toujours une réponse pour qui cherche un espace de repos et de silence qui réconcilie et pacifie, une source qui désaltère et réconforte, une présence inspirante qui comble par une parole de guérison.
Chaque fois qu’on se laisse regarder par Marie, chaque fois que nous prenons le temps de contempler son visage, nous voulons, avec Bernadette, croire en la force révolutionnaire de la tendresse et de l’affection. (Pape François)