Confiant en ton insondable miséricorde
Donne-moi de t’accueillir comme un frère bien-aimé qui ne retient rien contre moi, pas même mes pires péchés, mais qui veut m’embrasser tendrement. (Henri J.M. Nouwen)
Donne-moi de t’accueillir comme un frère bien-aimé qui ne retient rien contre moi, pas même mes pires péchés, mais qui veut m’embrasser tendrement. (Henri J.M. Nouwen)
Les mages nous les aimons bien. Toutefois, on peut se demander ce qui les pousse à venir de si loin en ce pays incertain. Il semble que ce soit la rencontre de l’inattendu, celle d’un nouveau roi et d’un nouveau royaume ce qui les fait plonger dans un monde nouveau, si neuf qu’il défie toute logique. (Anne Fortin)
Même si le mot est en vogue la réalité qu’il sous-tend ne l’est pas nécessairement. Une religieuse des Fraternités Monastiques de Jérusalem nous en offre une relecture. Si elle songe d’abord à la réalité communautaire qu’est la sienne, sa réflexion est pour tous.
Alors que le pharisien s’affiche comme étant un croyant exemplaire (pieux, vertueux et généreux), le publicain reconnaît son besoin, sa fragilité et sa vulnérabilité.
Dieu si fragile, si vulnérable en cet enfant de Bethléem. Dieu que j’attends depuis toujours pour apprendre que c’est lui qui m’invite, c’est lui qui frappe à la porte de mon cœur et attend que j’ouvre pour entrer.