Par Maurice Zundel, Lausanne, 10.59
Apporter dans le milieu où nous vivons le sourire, le sourire de la bonté divine.
C’est cela qui sauve l’homme du désespoir,
quand il ne se trouve plus devant un mur,
quand il rencontre enfin un visage,
quand il y a quelqu’un, quand il y a un cœur,
quand il y a une amitié,
quand le vent souffle d’une sympathie compréhensive.
Alors il commence à comprendre qu’il n’est pas seul dans l’univers,
qu’il n’est pas abandonné,
qu’il n’est pas seulement une chose au milieu du monde,
mais qu’il y a en lui une possibilité créatrice et qu’il est appelé à une autre aventure infinie.