Les béatitudes
Les béatitudes sont, comme leur nom l’indique, des bonnes nouvelles. La bonne nouvelle, c’est que le regard de Dieu n’est pas celui des hommes. (Marie-Noëlle Thabut)
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Les béatitudes sont, comme leur nom l’indique, des bonnes nouvelles. La bonne nouvelle, c’est que le regard de Dieu n’est pas celui des hommes. (Marie-Noëlle Thabut)
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Ainsi, tu nous donnes de comprendre que tu appelles chacun par son nom, que tu éveilles des jaillissements intérieurs, que tu as déposé en chacun un don unique, irremplaçable. (Frère Roger de Taizé)
Tu as déjà ouvert les chemins Lire la suite »
La puissance du Saint-Esprit n’est pas incompatible avec la faiblesse de l’être humain, bien au contraire. (Bernard Bastian)
Le Saint-Esprit, une puissance à la manière de Dieu Lire la suite »
Vivre d’Amour, c’est donner sans mesure, Sans réclamer de salaire ici-bas. Ah! sans compter je donne étant bien sûre Que lorsqu’on aime, on ne calcule pas! (…) (Thérèse de Lisieux)
Tout comme l’apôtre Paul, l’expérience de notre faiblesse nous invite à miser sur « plus grand que nous » afin que la Vie nous habite. Tiré de 2 Co 12,9 : « Mais il m’a déclaré : ‘Ma grâce te suffit, car ma puissance donne toute sa mesure dans la faiblesse.’ C’est donc très volontiers que je mettrai plutôt ma fierté dans mes faiblesses, afin que la puissance du Christ fasse en moi sa demeure. »
Miser sur la fidélité de Dieu Lire la suite »
La fondation d’une communauté religieuse c’est un peu comme un mariage. Ça commence toujours par une rencontre d’amour entre deux personnes. D’un côté, le Seigneur qui a une vision de bonheur pour l’humanité et de l’autre une personne qui reçoit cette vision, la fait sienne et accepte de devenir collaborateur avec Dieu. Ce fut le cas de Louis Grignion, né en 1673 et mort en 1716 à l’âge de 43 ans. (…)
Les filles de la sagesse Lire la suite »
Il y a bien des fois que je reçois ton pardon.
Un pardon qui m’a fait revivre,
qui m’a relancé plus d’une fois
sur le chemin de ton amour.
Un pardon qui m’a consolé, qui m’a soutenu et qui, parfois, m’a guéri de mes blessures.
C’est dans ton OUI, Marie, que Jésus, ton enfant, m’apporte le sourire du Père.
Toute l’histoire de mon humanité se jour dans ton OUI chaque fois que mon cœur est au service de l’amour.
En toi, Jésus, je deviens fils, fille dans le Fils que tu es.
Je deviens en même temps frère, sœur de tous les autres, parce que tu partages notre humanité pour que nous partagions ta divinité.
Chante, ô mon âme, c’est Noël ! Jésus, tu es parmi nous !
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