C’est cela, le christianisme :
entrer dans la vocation de Marie et, comme elle,
devenir le berceau vivant de Jésus.
(p. 121)
Un chrétien, c’est justement celui qui chaque jour imprime dans tout son être
le mystère et puissance de la Résurrection,
qui ne se laisse pas porter passivement par ses humeurs,
par ses fantaisies, par ses fatigues, par les éléments du monde,
par les forces de la nature mais qui, au contraire,
introduit dans tout cela les énergies de l’Esprit Saint
afin que son être tout entier respire la Présence divine
et la communique aux autres.
(p. 119)
Maurice Zundel
Silence, parole de vie, Québec, Anne Sigier, 1990.
(Retraite aux franciscaines du Liban en 1959)