J’avoue
Il y a bien des fois que je reçois ton pardon.
Un pardon qui m’a fait revivre,
qui m’a relancé plus d’une fois
sur le chemin de ton amour.
Un pardon qui m’a consolé, qui m’a soutenu et qui, parfois, m’a guéri de mes blessures.
Il y a bien des fois que je reçois ton pardon.
Un pardon qui m’a fait revivre,
qui m’a relancé plus d’une fois
sur le chemin de ton amour.
Un pardon qui m’a consolé, qui m’a soutenu et qui, parfois, m’a guéri de mes blessures.
Nourris par l’amour du Père miséricordieux, nous sommes appelés à devenir signes de la présence du vrai Dieu pour le monde d’aujourd’hui.
Pour m’approprier la paternité spirituelle et l’autorité compatissante qui en résulte, il me faut laisser le fils révolté et le fils rancunier s’avancer sur la plate-forme, pour recevoir l’amour miséricordieux et inconditionnel que le Père offre, et y découvrir l’appel à être à la maison, comme mon Père est à la maison.
Devenir le père Lire la suite »
En compagnie de saint Joseph et du Frère André, une méditation qui nous révèle les multiples facettes du visage de Dieu.
« Au cours de notre pèlerinage, nous apprendrons qu’il est lui-même Beauté, Joie, Tendresse, Miséricorde, Silence, Fidélité, Espérance, Amour et Vie. » (René Pageau)
En retraçant l’histoire biblique de saint Joseph et l’histoire fascinante de saint Frère André, simple et humble frère convers, nous sommes invités, à leur suite, à relire notre histoire dans la grande histoire de l’Église.
Visages de Dieu Lire la suite »
Rembrandt a cherché à exprimer par le biais du magnifique tableau « Le retour du fils prodigue » ce qu’il intuitionnait de l’âme du père, et par le fait même du cœur de Dieu.
L’amour de Dieu est toujours premier. C’est le grand mystère de la foi chrétienne.
Avant tout, c’est Dieu qui me choisit et me cherche.
Le père de la parabole du fils prodigue Lire la suite »
En ton nom, Père, je me signe de la croix de Jésus, ton Fils bien-aimé, que tu nous as envoyé pour nous donner le salut.
En ton nom, Père, je crois en la promesse qui s’est réalisée en ce Jésus de Nazareth, en cet Emmanuel, en ce Dieu-fait-homme, en ce Dieu-l’un-de-nous, en ce Dieu-avec-nous, au cœur de la foule des hommes et des femmes de toutes les générations de la fraternelle humanité.
Ô Père-de-miséricorde, tu n’en finis plus de partager, de pardonner pour garder debout l’homme et la femme qui, l’âme en peine, te cherchent sur les routes humaines…
Le signe de la croix Lire la suite »
La fête n’est pas remise à plus tard, Seigneur.
Elle est déjà commencée dans la haute chambre de mon cœur, si j’accepte d’entrer dans la danse par le chemin du pardon.
La fête peut commencer Lire la suite »
Chaque jour est un pas en avant, une marche d’Avent, d’avenir, vers l’avènement que porte mon espérance, vers la rencontre de Celui qui prend chair au milieu de nous, qui vit au milieu de nous et qui reviendra.
L’Avent, un temps de pleine vie et d’espérance Lire la suite »
Il suffit de quelques mots… « des mots qui viennent nous chercher, comme des phares, en traçant un chemin de lumière dans l’obscurité », écrit René Pageau.
À travers ce florilège présentant des thèmes qui lui sont chers comme la confiance, l’espérance, la joie, la fraternité ou l’émerveillement, l’auteur plonge au cœur de l’essentiel et nous invite à y découvrir la foi comme un art de vivre, un chemin vers la liberté intérieure.
René Pageau, c’est une voix qui invite à l’émerveillement, c’est un allumeur d’espérance…
Il suffit de quelques mots … Lire la suite »
Douée par Dieu de sa tendresse maternelle pour donner la vie, de sa force et de sa fidélité paternelles pour mettre debout, elle proclame que l’on peut toujours changer, que l’espérance est toujours possible.
La vénérable Marie-Josephte Fitzbach offre à notre monde un visage maternel rayonnant de la Miséricorde divine.
Un visage maternel de la miséricorde Lire la suite »
Suzanne Pacot, nous dit qu’il faut « en toute humilité et dans la foi accepter la loi de l’incarnation, la loi de ses limites. Se savoir aimé dans ses limites. Accepter paisiblement et avec douceur ses vulnérabilités, c’est accepter la normalité de l’imparfait en soi et dans les autres ».
« On ne tombe jamais plus bas que dans les bras de Dieu » (Péguy).
Tout en Dieu parle de miséricorde Lire la suite »