À toutes les minutes du temps, dans toutes les parties du monde, chaque fois qu’une messe est célébrée s’élève de la terre la prière dominicale :
« Notre père qui êtes aux cieux » afin que les âmes qui souffrent sachent qu’elles ne sont point abandonnées.
Et quand, après une vie de misère, le cœur souillé et meurtri, l’homme désespère de lui-même et n’ose plus croire à la miséricorde invisible, il entend près de lui une voix humaine, qu’il peut distinctement percevoir, lui dire au nom du Christ
« relève-toi, prends courage, tes péchés te sont remis. »
Tiré d’une conférence de Maurice Zundel donnée sous les auspices des Belles Lettres à l’Aula de l’université de Neuchâtel, le 30 septembre 1918.
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