Pour ceux et celles qui aiment tout prévoir
Un chrétien, une chrétienne ne prépare pas sa mort, mais sa résurrection. Nous ne sommes pas seulement mortels, mais éternels. (Jacques Gauthier)
Un chrétien, une chrétienne ne prépare pas sa mort, mais sa résurrection. Nous ne sommes pas seulement mortels, mais éternels. (Jacques Gauthier)
L’Esprit peut rendre possible toutes les audaces car c’est lui qui appelle et permet de devenir de véritables disciples, des disciples-missionnaires. C’est ce même Esprit qui invite à oser. Quelque chose de neuf, d’inattendu est là devant nous. Alors plongeons vers l’inconnu tout en s’accordant le droit à l’erreur et de pouvoir recommencer.
Nos familles, notre communauté paroissiale, notre circonscription municipale, notre comté, notre nation, la planète, partout on a besoin d’un levain dans la pâte. Et d’être ce levain c’est la vocation première des disciples-missionnaires que sont les baptisés.
Je sens jaillir en moi une source d’espérance, une lumière de Pâques, une joie inépuisable…
Il suffit de quelques mots…
Des mots qui viennent nous chercher, comme des phares, en traçant un chemin de lumière dans l’obscurité…
Seigneur, je me sens petit, faible et fragile, mais j’accepte de prendre le chemin évangélique de Marie comme tant d’autres qui m’ont précédé dans cette longue marche de la confiance et de l’abandon. En prononçant ce oui, en faisant de ma vie un oui, je sens naître en moi ton visage… Je sens jaillir en moi une source d’espérance, une lumière de Pâques, une joie inépuisable…
En ton nom, Père, je me signe de la croix de Jésus, ton Fils bien-aimé, que tu nous as envoyé pour nous donner le salut.
En ton nom, Père, je crois en la promesse qui s’est réalisée en ce Jésus de Nazareth, en cet Emmanuel, en ce Dieu-fait-homme, en ce Dieu-l’un-de-nous, en ce Dieu-avec-nous, au cœur de la foule des hommes et des femmes de toutes les générations de la fraternelle humanité.
Ô Père-de-miséricorde, tu n’en finis plus de partager, de pardonner pour garder debout l’homme et la femme qui, l’âme en peine, te cherchent sur les routes humaines…
C’est la vie qui reprend avec un cœur renouvelé et des projets neufs.
Le réveil passe comme une flamme, des racines à la pointe des arbres !
C’est la fête du printemps, les hirondelles se joindront aux jonquilles pour chanter nos amours.
Marcher vers Pâques et porter les blessures du passé, les fleurs sont à tes portes…
Cet article vise à présenter sommairement la vision théologique de Saint Paul concernant ce que l’on appelle traditionnellement le « péché originel ».
Cette vision nous semble très significative et pertinente pour l’homme d’aujourd’hui.
Si Paul parle de la solidarité de l’humanité avec « Adam » dans ce qui conduit à la mort, ce n’est que pour souligner une solidarité beaucoup plus importante, soit celle de toute l’humanité avec le Christ… celui qui conduit à la vraie vie.
Ce carême m’est proposé comme une marche vers une vie plus pleine; un espace pour une rencontre approfondie avec le Seigneur.
« Le jeûne que je préfère, pendant ces quarante jours, pendant toute ta vie, dit Dieu, c’est l’amour que nous avons les uns pour les autres et qui fait vivre, c’est la justice du cœur dans notre façon miséricordieuse de juger les autres, c’est la paix que nous fabriquons à force de pardonner, c’est le partage et le souci des plus petits, c’est la joie que nous semons. »