J’ai toujours éprouvé
une certaine tendresse pour les incroyants,
car autrefois j’ai été des leurs.
Je préfère un être qui doute
à un fidèle qui récite le catéchisme!
Le poids des certitudes finit par étouffer la foi.
Les « mécréants »
ont une place particulière dans mon cœur,
comme ils en ont une, j’en suis certain,
dans le cœur du Christ,
venu d’abord pour eux!
Ah! Si notre Église pouvait être
un peu moins dogmatique
et davantage missionnaire,
moins préoccupée par ses questions internes
et davantage tournée vers ceux
qui dans l’obscurité cherchent la lumière.
Arcabas
Peindre ma secrète prière
Le Christ aux outrages
Tableau d'Arcabas
Saint-Hugues de Chartreuse